Découvrez la clé pour apprendre à méditer comme un expert, gagner des années de pratique, et atteindre plus vite la méditation supérieure.
Les pratiques classiques de méditation s’appuient sur des exercices de visualisation, la respiration, des mantras, la prière, des activations spirituelles, l’observation de notre être et des rituels d’initiation. Mais ce n’est pas indispensable pour atteindre les bienfaits habituellement recherchés en méditation : être bien avec soi-même, vivre en paix, profiter de l’instant présent, se relaxer ou avoir des pensées positives.
Dans beaucoup de cas, les pratiquants néophytes se perdent dans leurs pensées, tentent de contrôler des énergies qui leur échappent, naviguent entre le passé et le futur, et se concentrent difficilement. Il leur faut des années pour progresser, parce qu’ils ne comprennent pas d’où vient le vrai pouvoir de concentration. Cette incompréhension explique pourquoi la plupart des pratiquants stagnent à long terme, une fois passée l’euphorie des premiers mois de pratique.
Mais voilà ; les sages d’Orient, profondément mystiques, ont toujours cultivé la voie du mystère. Ce n’est qu’à l’aube de sa mort qu’un maître véritable révélait ses plus grands secrets, enrobés de poésie métaphorique, toujours à l’oral, et uniquement à son disciple le plus avancé. Ce dernier héritait ainsi de la tradition à perpétrer, et consacrait le reste de sa vie à essayer de maîtriser l’art de son maître, dans le plus grand secret.
Quelques disciples, moins avancés, essayèrent d’interpréter eux aussi le fragment de connaissance qui leur étaient concédé, sans jamais être totalement initiés. Ils osèrent pourtant laisser une trace écrite; les fameux textes spirituels orientaux, enrobés d’une couche supplémentaire de mysticisme. Puis vinrent les reproductions successives. Pire encore ; les traductions. Toutes greffées d’une couche d’opacité grandissante qui dilue encore plus le sens de la vérité…
En clair ; les méthodes populaires et classiques peuvent nous enrichir. Mais ça ne veut pas du tout dire qu’elles sont optimisées. A vrai dire, plus la méthode / l’école / le maître est célèbre, plus l’efficacité est diluée. Malheureusement. Apprendre à méditer.
Or, toutes les pratiques classiques de méditation, aussi variées qu’elles puissent paraître, servent un but commun : provoquer une forme de lâcher-prise sur nos convictions erronées. Alors, nous plongeons dans un état supérieur de conscience ; et la vraie méditation peut enfin démarrer.
La méditation classique, comme on l’a voit partout, est un « teaser », une mise en bouche si vous préférez, qui nous prépare à la vraie méditation supérieure, une fois que nous lâchons prise.
Voici deux exemples. L’extase au cours d’une méditation, décrite par les sages d’Orient, procède du silence mental qu’ils cultivent. La répétition intense d’un mantra est l’une des méthodes les plus usitées pour l’atteindre. Les saints d’Occident atteignent aussi parfois cette béatitude après la répétition prolongée d’une prière. L’exercice exténuant pousse la conscience au burn-out et au lâcher-prise.
Alors, nous devenons hyper concentrés (le samādhi des sages d’Orient), libre de contraintes mentales, ancrés dans le moment présent, biens avec nous-mêmes, enfin prêts à cultiver des états supérieurs de conscience.
La bonne nouvelle, c’est qu’on peut fortement optimiser le travail de préparation à la méditation, et atteindre des résultats durables toute la journée. Imaginez l’avantage, surtout dans un monde aussi complexe que le nôtre, où le temps est une denrée très rare.
Le pouvoir de lâcher prise s’acquiert en équilibrant notre relation avec les forces intangibles de l’inconscient. Donc, si vous êtes déséquilibré, l’inconscient ne vous laissera jamais en paix. Vous aurez beau méditer de toutes vos forces des années durant, faire avancer votre carrière, avoir des enfants brillants, partir en vacances toute l’année et gagner tout l’argent du monde — peu importent vos accomplissements — l’inconscient vous parasitera de pensées négatives. Et vous ne serez jamais bien avec vous-même.
Mais si vous êtes équilibré, l’inconscient vous laisse tranquille, et son pouvoir devient le vôtre. Alors, vous atteignez rapidement ce qu’un pratiquant chevronné de méditation classique pourrait atteindre en plusieurs années d’effort (concentration, bonheur, clarté mentale, paix, amour, bien-être, etc.).
Le bonheur, la joie, la paix, la pleine conscience et l’art de vivre le moment présent sont la conséquence naturelle de notre mariage intérieur avec l’inconscient. Ne dit-on pas en philosophie orientale que « le bonheur est le chemin ; pas une finalité » ?
En méditation supérieure, tout revient à fusionner notre intention avec celle de l’inconscient. Le plus incroyable, c’est qu’il n’y a rien de mystique à tout cela. Tout s’explique, avec raison et sans mystère. Apprendre à méditer.
Pour méditer comme un expert, il suffit juste de bien comprendre les lois rationnelles de l’inconscient. Et de les appliquer. En plus de relaxer, la méditation supérieure perfectionne, équilibre et rationalise notre univers intérieur.
La méditation supérieure élève notre compréhension de nous-mêmes et du monde ; elle ne consiste pas à nous perdre dans un océan d’opacité mystique.
Et comprendre, dans la vie, c’est aussi pouvoir. Apprendre à méditer.
La méditation supérieure ne supprime pas notre ego. Au contraire, elle transfigure notre ego pour devenir remarquable dans tout ce que nous entreprenons dans la vie.
La méditation supérieure transcende les ondes thêta recherchées en méditation classique. En méditation supérieure, nous développons les ondes gamma du cerveau pour libérer tout notre génie.
Si vous êtes intéressé pour développer ce genre d’état extraordinaire, consultez les ressources disponibles sur ce site.
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